Très sensible aux questions régionales et aux enjeux de l’intégration, elle
aborde dans cette vidéo, enregistrée avant la reconquête de Kidal par l’armée
malienne, la configuration sécuritaire dans le Nord du Mali (Azawad), les
forces maliennes (rebelles majoritairement touaregs et touaregs alliés à
Bamako), les groupes terroristes commandés par des chefs maliens, Iyad Ag
Ghali et Amadou Koufa et l’Etat Islamique au Grand Sahara (EIGS),un véritable
imbroglio dans un contexte de départ des soldats de la paix de l’ONU
(MINUSMA).
Belinda Fall dégage par la suite une perspective de solution politique, en
remettant sur la table, l’idée d’un accord entre les autorités de la transition
qui règnent à Bamako, et les combattants djihadistes maliens, Iyad Ag Ghali et
Amadou Koufa. Une nouvelle configuration qui permettrait aux maliens de
faire l’union sacrée pour sauver leur pays, face à la menace étrangère que
représente EIGS.
Cette dernière projection semble lointaine, après l’enterrement de l’Accord de
Paix d’Alger, signé en 2015, entraînant la reprise des combats entre les Forces
Armées Maliennes (FAMA) et la rébellion historique du Nord.
aborde dans cette vidéo, enregistrée avant la reconquête de Kidal par l’armée
malienne, la configuration sécuritaire dans le Nord du Mali (Azawad), les
forces maliennes (rebelles majoritairement touaregs et touaregs alliés à
Bamako), les groupes terroristes commandés par des chefs maliens, Iyad Ag
Ghali et Amadou Koufa et l’Etat Islamique au Grand Sahara (EIGS),un véritable
imbroglio dans un contexte de départ des soldats de la paix de l’ONU
(MINUSMA).
Belinda Fall dégage par la suite une perspective de solution politique, en
remettant sur la table, l’idée d’un accord entre les autorités de la transition
qui règnent à Bamako, et les combattants djihadistes maliens, Iyad Ag Ghali et
Amadou Koufa. Une nouvelle configuration qui permettrait aux maliens de
faire l’union sacrée pour sauver leur pays, face à la menace étrangère que
représente EIGS.
Cette dernière projection semble lointaine, après l’enterrement de l’Accord de
Paix d’Alger, signé en 2015, entraînant la reprise des combats entre les Forces
Armées Maliennes (FAMA) et la rébellion historique du Nord.